C’est un deuil. Une mort sans décès. Quoique, dans les cas extrêmes, elle peut être fatale. Mais, en règle générale, on y survit – ou plutôt on « vit avec ».
A l’inverse (ou par la suite), elle peut générer un authentique et bénéfique soulagement.
C’est un deuil. Une mort sans décès. Quoique, dans les cas extrêmes, elle peut être fatale. Mais, en règle générale, on y survit – ou plutôt on « vit avec ».
A l’inverse (ou par la suite), elle peut générer un authentique et bénéfique soulagement.
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Je suis un « dysgraphique du clavier ». Alors que je croyais jusqu’à ce soir être un authentique « dyslexique du clavier ». Quelle surprise !
Étant donné que ce mot est assez peu usité, je recopie la définition que donne le Petit Robert de « dysgraphie » :
Difficulté dans l’acquisition ou l’exécution de l’écriture, liée à des troubles fonctionnels (en l’absence de déficiences intellectuelles) ».
Je suis assez dépité d’apprendre que j’ai des « troubles fonctionnels » (?!). Mais heureux de savoir que je n’ai pas de « déficiences intellectuelles ». Ouf !
Tout ça pour dire qu’il faut que j’apprenne à taper un peu mieux, quoi ! Mais je m’y emploie. 😀
Comme ces deux termes semblent être très liés, voici également la définition que donne ce même Petit Robert de la dyslexie :
Trouble de la capacité de lire, ou difficulté à reconnaître et à reproduire le langage écrit.
Je pense donc que je suis quand même un tout petit peu dyslexique (du clavier) aussi. Soyons précis ! 😀
Enfin, il peut arriver que l’on soit dysorthographique.
Dysorthographique : Trouble dans l’acquisition et la maîtrise des règles de l’orthographe (en l’absence de déficiences intellectuelles).
Mais là, ce n’est absolument pas mon cas ! Et c’est une autre histoire…
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A Sylvain et au Dr B.
« On choisit pas ses parents, on choisit pas sa famille » chante Maxime Le Forestier. On ne choisit donc pas sa mère. Et c’est bien dommage. Car dans le cas contraire, il serait envisageable d’éviter les mères abusives, castratrices ou juives [adjectifs classés par ordre alphabétique, s’il vous plaît ! N’oublions pas que nous somme dans un dictionnaire. D’ailleurs, si vous connaissez d’autres synonymes, je suis preneur (1) (2)] ;-). Le « pire », dans tout ça, c’est qu’elles vous aiment et que vous les aimez aussi en retour ! Alors comment échapper à leur emprise ? Comment ne pas devenir dépendant ? Comment faire pour qu’à un âge parfois (très) avancé elles ne vous parlent plus comme à un enfant ? Peut-être, tout simplement, en négociant, comme le suggère le corps médical.
Merci Docteur ! Je vous dois combien ? 😀
(1) je ne recule devant aucune dépense lorsqu’il s’agit de mots.
(2) possessives, oui ! Merci Ghyslaine !
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Y a-t-il des lettres de l’alphabet que vous n’aimez pas ? Pour une raison ou pour une autre ?
Pour Georges Perec, semble-t-il, c’était le << E >>. Dans mon cas, c’est le << K >>. Pourquoi ? Cela ne vous regarde pas ! Disons tout simplement que je suis un cas désespéré. Et n’en parlons plus.
Puisque nous sommes là-dessus, que pensez-vous du << U >> ?
Qui vient de dire qu’il préférait le << Q >> ! C’est toi ?… Tu sors ! 😀
Elaeudanla Teïtéïa / Serge Gainsbourg.
Il n’y a pas d’humour « innocent ». Je le dis souvent. C’est pourquoi, dans certains cas ou situations, il peut être blessant (raison pour laquelle on a inventé les smileys, émoticônes pour les francophones purs et durs).
Autrement dit : la plupart des plaisanteries contiennent une part de vérité. Il suffit juste d’apprendre à les décrypter. En courant néanmoins le risque de se tromper.
Classé dans H
Pour être un bon psychiatre (bon médecin tout simplement), il faut être aussi fin psychologue. Je crains que ce ne soit pas toujours le cas.
Classé dans P
Quand on est influençable, mieux vaut être influencé par la bonne personne.
Hélas, ce n’est pas toujours le cas.
Classé dans I