L’une de mes amies m’a dit un jour qu’un grand choc psychologique pouvait, selon elle, provoquer un cancer. Je veux bien le croire. Mais de là à le prouver, c’est une autre histoire. En l’état actuel de nos connaissances, du moins.
L’une de mes amies m’a dit un jour qu’un grand choc psychologique pouvait, selon elle, provoquer un cancer. Je veux bien le croire. Mais de là à le prouver, c’est une autre histoire. En l’état actuel de nos connaissances, du moins.
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C’est l’âge où le corps commence à montrer quelques signes d’usure ; précurseurs sans doute d’une vieillesse qui se rapproche, insidieusement. L’heure des bilans. Le moment où le soleil commence, tout doucement, et tranquillement, à vouloir rejoindre l’horizon – encore lointain, pourtant. Mais c’est aussi l’âge où le désir, de vivre et d’aimer, est à son apogée. Alors, profitons-en !
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« Le fou n’est pas toujours celui qu’on croit. »
Cette formule, à l’image de certaines anamorphoses, peut être doublement interprétée. Il faut parfois savoir se mettre dans la peau du « schizophrène » pour mieux lire entre les lignes. Même si, en l’occurrence, il n’y en a qu’une ! 😀
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Quand on est influençable, mieux vaut être influencé par la bonne personne.
Hélas, ce n’est pas toujours le cas.
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<< Il n’y a pas d’amour
(Pas vraiment, pas assez)
Nous vivons sans secours,
Nous mourons délaissés.
L’appel à la pitié
Résonne dans le vide,
Nos corps sont estropiés
Mais nos chairs sont avides.
Disparues les promesses
D’un corps adolescent,
Nous entrons en vieillesse
Où rien ne nous attend
Que la mémoire vaine
De nos jours disparus,
Un soubresaut de haine
Et le désespoir nu. >>
Michel Houellebecq – La Possibilité d’une île.
[Je sais : c’est pas très gai,
Et oui ça se discute !
C’est juste un coup de blues, précédant la culbute.
Ça ira mieux en mai ! ] 😀
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Is, te souviens-tu de ce canard dans un joli petit parc bordelais ? Il nageait et évoluait sous nos yeux, pendant que nous devisions, tranquillement assis sur l’herbe. Subitement, il a plongé. Son corps tout entier a disparu sous la sombre surface de l’eau. Et nous ne l’avons jamais vu remonter. Sur le coup, nous avons été surpris, interloqués. Puis, la plaisanterie aidant, nous en avons souri, et même ri ; nous demandant cependant ce qu’il avait bien pu devenir… Un an après, je me « noyais » à mon tour. Mais il n’y avait là aucun plan d’eau. J’ai heureusement pu refaire surface. Alors que personne ne s’y attendait plus. Comme ce canard, sans doute…
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Nous allons souvent chercher très loin ce qui se trouve là, à notre portée, juste sous notre nez. Comme l’a si bien évoqué Edgar Allan Poe dans La lettre volée.
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