J’apprends donc je sais. [Pour les érudits].
Je pense puis j’oublie. [Pour les Alzheimer].
Je panse donc j’essuie. [Pour les infirmières].
😀
J’y pense et puis j’oublie / Claude François.
J’apprends donc je sais. [Pour les érudits].
Je pense puis j’oublie. [Pour les Alzheimer].
Je panse donc j’essuie. [Pour les infirmières].
😀
J’y pense et puis j’oublie / Claude François.
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« L’optimisme est une bonne chose, mais s’il est poussé à l’excès, il devient sottise. Nous pensons que les ressources de notre pays sont inépuisables ; ce n’est pas le cas. Nos richesses minières, le charbon, le fer, le pétrole, le gaz et les autres matières premières ne sont pas renouvelables. Il est donc certain qu’elles seront à terme épuisées. Et vu la manière dont nous les gaspillons aujourd’hui, nos descendants connaîtront leur épuisement une génération ou deux plus tôt que prévu. »
Theodore Roosevelt, président des États-Unis, Conférence sur la conservation des ressources naturelles, message annuel au Congrès, 3 décembre 1907.
1907. Que devrait-on dire aujourd’hui ! Et que pourrons-nous dire demain ?
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Lorsque cet air rêveur envahit ton visage, que ton regard tourne au vague, et tes yeux se perdent dans l’immensité de l’inconnu, à quoi, à qui penses-tu ? Mystère. Ce genre de mystère qui provoque une irrésistible attraction. Et vous charme en un instant.
Commentaire : si « les yeux sont le miroir de l’âme », alors je vois de bien belles âmes derrière tout ça. Cependant, afin de désamorcer toute éventuelle polémique (je suis bien conscient que le sujet est assez sensible), je précise que je ne fais absolument pas l’apologie du voile. A mes yeux (c’est le cas de le dire !), il n’est ici qu’un « accessoire. » Qui permet de focaliser l’attention sur de magnifiques et très esthétiques regards (images « photoshopées » donc « maquillées », le terme étant ici particulièrement approprié). Ce qui me fait également dire ceci : tout ce qui est masqué est en général très attirant ; tout ce que l’on dissimule attise curiosité et convoitise. Effet qui est totalement à l’opposé de l’objectif initial des plus rigoristes (pour ne pas dire extrémistes), qui consiste à cacher. Étonnant paradoxe.
D’une certaine manière, je reste donc tout à fait en accord avec la thématique de mon article.
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Je pense à ces mannequins en herbe, victimes de la mode et prisonnières de leur maigreur, qui – trop dociles parce que souvent très jeunes – exécutent tout ce qu’on leur impose pour « donner l’exemple » aux foules. Quittes à frôler la mort, voire y laisser la vie. Serait-il aussi risqué d’être mannequin que pilote de formule un ?
Beautiful Girl / INXS.
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A toi, très chère amie, Goddess of Victory, qui a éveillé mon esprit.
You’ll stay forever my cyberlover. Even if we were only both players.
Pour mon 400ème article (oui, je n’ai pas tenu ma promesse de m’en tenir à 365 comme je l’avais annoncé dans mon « A propos » –> https://antidictionnaire.com/a-propos/), je tiens à laisser la parole à une femme. Une grande dame. Qui nous a fait entendre un autre son de cloche, à nous les hommes.
Voici ce qu’elle nous dit :
« La vie des gens des deux sexes […] est ardue, difficile, une lutte perpétuelle. Elle exige un courage et une force gigantesques. Et plus que toute autre chose peut-être, elle exige de la confiance en soi. Sans cette confiance, nous sommes semblables à des bébés dans leurs berceaux. Et comment pouvons-nous faire naître cette qualité impondérable et cependant si précieuse ? En pensant que les autres sont inférieurs à nous. En sentant que nous avons quelques supériorités innées. […] D’où l’énorme importance pour un patriarche conquérant ou patent dans le fait de sentir que beaucoup d’êtres humains – en réalité la moitié du genre humain * – lui sont, par leur nature même, inférieurs. Sans doute est-ce là une des principales sources de son autorité. »
* Comprendre : les femmes.
Une chambre à soi / Virginia Woolf.
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Il se feuillette plus qu’il ne se lit.
[Je pense en particulier aux salles d’attente. Où il est néanmoins concurrencé, voire remplacé, par le téléphone portable.
Je pense au train et à tous ceux qui « font le plein » de revues avant le départ, même si là aussi la tablette et l’ordinateur portable sont en train (sans jeu de mots, ou avec, au choix) 🙂 de s’y substituer.
Personnellement, je n’y vois aucun inconvénient (si ce n’est la durée de vie de la batterie, même si l’on trouve de plus en plus de prises de courant). Ce qui n’est sans doute pas le cas des imprimeurs et des patrons de la presse écrite, entre autres. Mais ils sont bien obligés de s’adapter. Sinon ils meurent].
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Je suis un « dysgraphique du clavier ». Alors que je croyais jusqu’à ce soir être un authentique « dyslexique du clavier ». Quelle surprise !
Étant donné que ce mot est assez peu usité, je recopie la définition que donne le Petit Robert de « dysgraphie » :
Difficulté dans l’acquisition ou l’exécution de l’écriture, liée à des troubles fonctionnels (en l’absence de déficiences intellectuelles) ».
Je suis assez dépité d’apprendre que j’ai des « troubles fonctionnels » (?!). Mais heureux de savoir que je n’ai pas de « déficiences intellectuelles ». Ouf !
Tout ça pour dire qu’il faut que j’apprenne à taper un peu mieux, quoi ! Mais je m’y emploie. 😀
Comme ces deux termes semblent être très liés, voici également la définition que donne ce même Petit Robert de la dyslexie :
Trouble de la capacité de lire, ou difficulté à reconnaître et à reproduire le langage écrit.
Je pense donc que je suis quand même un tout petit peu dyslexique (du clavier) aussi. Soyons précis ! 😀
Enfin, il peut arriver que l’on soit dysorthographique.
Dysorthographique : Trouble dans l’acquisition et la maîtrise des règles de l’orthographe (en l’absence de déficiences intellectuelles).
Mais là, ce n’est absolument pas mon cas ! Et c’est une autre histoire…
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