Lorsque survient l’averse, ne baissez pas la tête. Ne la penchez plus vers le sol. Tournez-la vers le ciel. Sentez les gouttes caresser et inonder votre visage. Accueillez la pluie comme une bénédiction. Vous verrez : ça change tout !
It’s raining again / Supertramp.
Have You ever Seen the Rain ? / Creedence Clearwater Revival.
La mode, ça se démode aussi vite que ça « se mode » (je n’invente rien ; à part peut-être le verbe « se moder » qui n’existe pas). 🙂
La mode c’est fait pour les snobs et/ou ceux qui ont les moyens de faire la course à l’avant. Et pour les crétins qui essaient de les suivre, mais n’en ont pas les moyens.
Je sais que je ne vais pas vraiment me faire que des ami(e)s en écrivant cela, mais ce n’est pas mon pauvre petit blog qui changera les choses ni ne bouleversera le monde (soustrayez le « n », reste « mode »). Je tiens néanmoins à dire que – fondamentalement – je n’ai rien contre la mode (c’est joli, c’est brillant, c’est attirant, ça permet de créer des parfums, et des emplois). Mais – personnellement – ce que je préfère par-dessus tout dans la mode (et je sais que je suis loin d’être le seul) ce sont les mannequins (elles sont jolies, brillantes, attirantes, sentent bon et seraient capables de vous faire perdre votre emploi – d’un seul regard, d’un simple battement de cil).
Hélas sous cette belle apparence se cachent parfois bien des souffrances. L’envers du décor est un peu moins reluisant. Les rois de la mode – qui donnent le « la » et définissent la norme – se comportent souvent en véritables tyrans, considérant leurs mannequins comme de simples esclaves, sachant très bien qu’elles seront prêtes à (presque) tout endurer en échange d’un peu de renommée ou de célébrité.
Si l’on y est confronté, il faut essayer de se dire à soi-même : « Tout problème a une solution ». Si l’on parvient à s’en convaincre, sa résolution s’en trouvera facilitée. Cela change tout !
Il nous est impossible d’avoir une quelconque action sur le passé (excepté par la pensée ***). Les choses changent. Tout comme notre vision des choses change. Ne reste plus qu’une douce nostalgie, qui n’est pas si désagréable que ça, au fond. Mais nous avons encore le temps et la possibilité de préparer nos lendemains. Ou, mieux encore : utiliser le temps qui nous reste pour apprendre à savourer et profiter de l’instant présent – ce qui nécessite un assez long apprentissage. -_-
Amen. 🙂 ***A moins bien sûr d’être en possession de « La machine à explorer le temps » d’H.G. Wells, ce qui me paraît peu probable. 😀
Des lendemains qui chantent / Françoise Hardy, Benjamin Biolay.
Sigle souvent incompréhensible aux non initiés.
Ou bien, si l’on change de point de vue : uniquement compréhensible par les initiés.
Ce qui ne revient pas tout à fait au même, si l’on y réfléchit bien.
L’humeur, nous le savons bien, est un état passager. Tout comme le temps qu’il fait, elle peut changer. Ainsi que le calme précède la tempête, nous sommes capables de passer en un instant du rire aux larmes. Chez les plus chanceux – les plus heureux ? – elle peut être stable – ou comme on a coutume de le dire – égale. Mais le summum n’est atteint que lorsque l’humeur parvient à ne faire qu’un avec l’humour. On pourrait presque croire, alors, que le beau temps va durer éternellement…
Après ma mort, j’aimerais être inhumé dans la fosse commune. Parce que je fais partie du commun des mortels.
Et aussi qu’il n’y ait que des femmes je jour de la cérémonie.
Ce sont mes dernières volontés. Pour cette année… Cela pourrait changer ! 😀
Un jour – alors que je me plaignais d’une sorte de « malaise professionnel » – le médecin à qui je me confiais m’a suggéré ceci : « Essayez, autant que faire se peut, de prendre du plaisir dans ce que vous faites au travail. »
Je n’ai jamais oublié ce conseil. Je m’en suis inspiré ; l’ai utilisé chaque fois que je le pouvais (car il peut s’appliquer à l’ensemble de la vie quotidienne).
Il suffit juste, parfois, de considérer la réalité sous un autre angle, de simplement changer de point de vue, pour que notre vision des choses soit transformée. Cela rejoint, en substance, ce que nous dit le célèbre dicton du verre à demi-vide ou à demi-plein.