C’est un deuil. Une mort sans décès. Quoique, dans les cas extrêmes, elle peut être fatale. Mais, en règle générale, on y survit – ou plutôt on « vit avec ».
A l’inverse (ou par la suite), elle peut générer un authentique et bénéfique soulagement.
C’est un deuil. Une mort sans décès. Quoique, dans les cas extrêmes, elle peut être fatale. Mais, en règle générale, on y survit – ou plutôt on « vit avec ».
A l’inverse (ou par la suite), elle peut générer un authentique et bénéfique soulagement.
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Oui, on vit avec, et même lorsqu’on en est l’initiateur, elle est souffrance, ….et aussi porte ouverte
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Suis tout à fait d’accord. Mais j’ai tendance à penser que c’est « un tout petit peu » plus « facile » pour celui ou celle qui prend l’initiative. L’un choisit (décide), l’autre subit (n’a pas le choix ; sauf de se battre pour essayer de « sauver le coup », sans succès en général). Mais je ne nie pas pour autant la souffrance de « l’initiateur ». [Je suis très prudent, d’où les guillemets]. 😉 Merci de ta (tes) visite(s). 🙂
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