J’apprends donc je sais. [Pour les érudits].
Je pense puis j’oublie. [Pour les Alzheimer].
Je panse donc j’essuie. [Pour les infirmières].
😀
J’y pense et puis j’oublie / Claude François.
J’apprends donc je sais. [Pour les érudits].
Je pense puis j’oublie. [Pour les Alzheimer].
Je panse donc j’essuie. [Pour les infirmières].
😀
J’y pense et puis j’oublie / Claude François.
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Il nous est impossible d’avoir une quelconque action sur le passé (excepté par la pensée ***). Les choses changent. Tout comme notre vision des choses change. Ne reste plus qu’une douce nostalgie, qui n’est pas si désagréable que ça, au fond. Mais nous avons encore le temps et la possibilité de préparer nos lendemains. Ou, mieux encore : utiliser le temps qui nous reste pour apprendre à savourer et profiter de l’instant présent – ce qui nécessite un assez long apprentissage. -_-
Amen. 🙂
*** A moins bien sûr d’être en possession de « La machine à explorer le temps » d’H.G. Wells, ce qui me paraît peu probable. 😀
Des lendemains qui chantent / Françoise Hardy, Benjamin Biolay.
Retour vers le futur / Robert Zemeckis.
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« Tu te poses trop de questions », me dit-on régulièrement.
Ce à quoi je réponds systématiquement : « Je préfère m’en poser trop que pas assez ».
C’est une pirouette. Car j’ai bien peur que « on » ait raison.
Mais je ne sais pas faire autrement. « On » me dit que ça s’apprend.
Vous avez une question ? 😀
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– « Est-ce vrai que c’est parce qu’on m’a élevé comme un petit prince que je ne deviendrai jamais un grand roi ? »
– « C’est bien possible mon enfant… Dis-toi alors, tout simplement, que tel n’est peut-être pas ton destin. »
– « Alors je voudrais bien être un prince charmant ! »
– « Tu apprendras bien vite, cher enfant, que dans la vie on ne fait pas toujours ce que l’on veut. Mais ce que l’on peut. Du mieux qu’on le peut. C’est déjà beaucoup. Et puis tu sais, j’ai connu bien des jeunes femmes qui ont passé leur vie à attendre leur prince charmant sans que, la vieillesse venue, il ne leur soit jamais apparu (sauf en rêve). Elles ont pourtant fait tout ce qu’elles ont pu. Peut-être en ont-elles trop attendu. Ou bien le destin ne l’a pas voulu. »
– « Mais alors, on ne peut donc rien faire contre le destin ? »
– « Si, mon petit : prendre sa vie en main. Il me semble bien que ce soit le meilleur moyen d’envisager de meilleurs lendemains. Et de faire un joli pied de nez au destin ! »
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Je suis un « dysgraphique du clavier ». Alors que je croyais jusqu’à ce soir être un authentique « dyslexique du clavier ». Quelle surprise !
Étant donné que ce mot est assez peu usité, je recopie la définition que donne le Petit Robert de « dysgraphie » :
Difficulté dans l’acquisition ou l’exécution de l’écriture, liée à des troubles fonctionnels (en l’absence de déficiences intellectuelles) ».
Je suis assez dépité d’apprendre que j’ai des « troubles fonctionnels » (?!). Mais heureux de savoir que je n’ai pas de « déficiences intellectuelles ». Ouf !
Tout ça pour dire qu’il faut que j’apprenne à taper un peu mieux, quoi ! Mais je m’y emploie. 😀
Comme ces deux termes semblent être très liés, voici également la définition que donne ce même Petit Robert de la dyslexie :
Trouble de la capacité de lire, ou difficulté à reconnaître et à reproduire le langage écrit.
Je pense donc que je suis quand même un tout petit peu dyslexique (du clavier) aussi. Soyons précis ! 😀
Enfin, il peut arriver que l’on soit dysorthographique.
Dysorthographique : Trouble dans l’acquisition et la maîtrise des règles de l’orthographe (en l’absence de déficiences intellectuelles).
Mais là, ce n’est absolument pas mon cas ! Et c’est une autre histoire…
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La mort peut survenir à tout moment. Parfois quand on ne s’y attend pas. C’est pourquoi il faut tenter de savourer chaque jour, chaque instant qui nous est donné. Ne pas passer à côté de l’essentiel. Apprendre à vivre en paix avec les autres, en étant en paix avec soi-même. S’aimer pour aimer.
CARPE DIEM !
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Il n’y a pas d’humour « innocent ». Je le dis souvent. C’est pourquoi, dans certains cas ou situations, il peut être blessant (raison pour laquelle on a inventé les smileys, émoticônes pour les francophones purs et durs).
Autrement dit : la plupart des plaisanteries contiennent une part de vérité. Il suffit juste d’apprendre à les décrypter. En courant néanmoins le risque de se tromper.
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