J’apprends donc je sais. [Pour les érudits].
Je pense puis j’oublie. [Pour les Alzheimer].
Je panse donc j’essuie. [Pour les infirmières].
😀
J’y pense et puis j’oublie / Claude François.
J’apprends donc je sais. [Pour les érudits].
Je pense puis j’oublie. [Pour les Alzheimer].
Je panse donc j’essuie. [Pour les infirmières].
😀
J’y pense et puis j’oublie / Claude François.
Classé dans D
Bon, je profite de l’ouverture très récente du Festival de Cannes pour décerner quelques palmes aux mots les plus récurrents de ce blog. J’utilise pour cela le nuage de tags (mots-clés en bon français) que l’on peut consulter dans la colonne de droite.
Le palmarès est donc le suivant :
CLAP, CLAP, CLAP !
[Applaudissements nourris et très enthousiastes du public (qui n’existe pas)].
Je suis tout à fait satisfait et très fier de ce résultat et je tiens à saluer le jury (qui n’existe pas non plus) pour ce choix. En guise de remerciement, je vais maintenant rédiger trois très courtes phrases (oui, trois !) en me servant de ces 4 mots (en tant que fan de l’OuLiPo, j’aime bien écrire sous contrainte).
Attention, roulement de tambours :
Et voilà. Oui, d’accord, je ne me suis pas foulé. Ou bien j’ai manqué d’inspiration. On est en effet très loin de la phrase de génie (auquel je vous ai habitué). 😀 Mais avec 4 mots que voulez-vous faire ? Si ce n’est le clown.
[Il me reste encore quelques parenthèses en magasin. Si ça intéresse quelqu’un…]
😀 😀 😀
Classé dans P
Je me demande si l’on a pas « inventé » ce mot pour rien – ou bien juste pour se donner bonne conscience. Tout ce que je lis, entends, vois autour de moi n’est que subjectivité. En écrivant cela, je suis subjectif. Les domaines dans lesquels on est censé être objectif n’y échappent pas : journalisme, médecine, histoire, etc.
On peut s’efforcer d’être objectif. On ne l’est jamais (et j’ai presque envie de dire tant mieux ; ne me demandez pas pourquoi, je ne le sais pas).
Les philosophes et/ou les scientifiques auront sûrement des arguments à même de contredire (tempérer, modérer, relativiser) ce que je viens d’écrire. Je veux bien les écouter et en discuter. Je n’attends même que ça…
Classé dans O
Dédié à Monsieur Claude Chauvel, qui fut trois années durant mon professeur de français au collège. Et que j’ai retrouvé bien des années après, alors que j’étais surveillant d’externat. Je lui dois en partie ce que je suis. Merci à lui. Merci aussi à tous ceux qui ont suivi.
Deux « indicateurs » permettent de reconnaître un bon professeur (à mon humble avis) :
J’avoue ne pas être un grand fan de la Star Academy (ni de TF1 plus généralement). J’avoue aussi que cette version m’a beaucoup ému. Mais comme je suis un GRAND émotif…
Rendons à César ce qui appartient à Hugues.
Classé dans P
J’ai entendu ce soir (à la télé) que « c’est la beauté qui sauvera le monde ». Je veux bien le (y) croire et je le souhaite de tout mon cœur. A un détail près : j’y ajouterais l’amour. Car sans amour, point de salut.
[J’ai constaté au passage que je n’avais créé aucune entrée pour ce mot dans cet atypique dictionnaire. Enfin si, c’est fait maintenant 🙂 (et il était déjà présent dans certains de mes articles, j’ai vérifié). Mais je n’ai fait ici que recueillir les propos d’un autre. Je souhaite donner ma propre définition, puisque c’est le principe initial de ce blog. Je vais donc le noter et m’y atteler, mais ça ne va pas être de la tarte ! Je me demande si je ne vais pas faire appel à Baudelaire, puisqu’il en a parlé beaucoup mieux que je ne saurai et pourrai jamais le faire].
EURYTHMICS – The Miracle of Love
Classé dans B
Je suis un « dysgraphique du clavier ». Alors que je croyais jusqu’à ce soir être un authentique « dyslexique du clavier ». Quelle surprise !
Étant donné que ce mot est assez peu usité, je recopie la définition que donne le Petit Robert de « dysgraphie » :
Difficulté dans l’acquisition ou l’exécution de l’écriture, liée à des troubles fonctionnels (en l’absence de déficiences intellectuelles) ».
Je suis assez dépité d’apprendre que j’ai des « troubles fonctionnels » (?!). Mais heureux de savoir que je n’ai pas de « déficiences intellectuelles ». Ouf !
Tout ça pour dire qu’il faut que j’apprenne à taper un peu mieux, quoi ! Mais je m’y emploie. 😀
Comme ces deux termes semblent être très liés, voici également la définition que donne ce même Petit Robert de la dyslexie :
Trouble de la capacité de lire, ou difficulté à reconnaître et à reproduire le langage écrit.
Je pense donc que je suis quand même un tout petit peu dyslexique (du clavier) aussi. Soyons précis ! 😀
Enfin, il peut arriver que l’on soit dysorthographique.
Dysorthographique : Trouble dans l’acquisition et la maîtrise des règles de l’orthographe (en l’absence de déficiences intellectuelles).
Mais là, ce n’est absolument pas mon cas ! Et c’est une autre histoire…
Classé dans D
La vie est une loterie.
Un jour tu gagnes. Un jour tu perds.
Un jour tu ris. Un jour tu pleures.
Un jour tu vis. Un jour tu meurs.
Sans savoir pourquoi on t’a tiré au sort.
Classé dans L
Hommage « posthume » à Kara la Rebelle, qui se reconnaîtra, si un beau jour elle passe par là. Ce qui est peu probable.
Et à Isabelle Manson Bittard qui, apparemment, s’est reconnue. 😉
Elle soigne nos maux par des mots.
Elle prodigue des soins, et fait parfois office de médecin, quand celui-ci, surchargé de son côté, est obligé de déléguer. Elle prend donc des risques, puisque tout cela n’est pas très déontologique.
Elle est rassurante et bienveillante.
Elle est attentionnée, à l’écoute de ses patients, sait faire preuve d’empathie et d’abnégation.
Elle part tôt le matin et rentre l’après-midi, fatiguée. Ou bien part l’après-midi et rentre tard le soir, épuisée. Parfois aussi, elle travaille la nuit.
Elle côtoie la mort tous les jours.
Elle est courageuse et forte.
Elle exerce un métier difficile mais se sent utile.
C’est sa raison d’être.
Avertissement : ce clip a été sponsorisé par les plus grandes marques et opérateurs de téléphonie. 😀
Classé dans I
Il revient parfois, insolemment, nous hanter. Impoliment, il s’invite. Alors qu’on ne l’attendait pas, que nous ne lui avions rien demandé. Mais nous savons très bien que les fantômes n’existent pas. Il n’y a donc rien à craindre. Il repartira comme il est venu.
Sauf si nous le retenons.
Classé dans P