Bon à rien ? Vraiment ?…
Archives mensuelles : avril 2016
Serment
Le serment d’Hippocrate
Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité.
Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.
Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité.
J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences.
Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.
Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.
Admis(e) dans l’intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu(e) à l’intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les mœurs.
Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.
Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.
J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles dans l’adversité.
Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j’y manque.
Merci ma puce pour ce moment de bonheur, de fierté et d’émotion (en attendant le tour de ton frère). 🙂
Tu as largement mérité ces quelques jours de repos sous le soleil de La Réunion.
Merci à Sam d’avoir été là.
Merci aux membres de la famille qui étaient eux aussi présents, que ce soit physiquement ou par la pensée.
Je me souviendrai longtemps de ce très beau jour.
Que ta vie de médecin et de femme soit pour toi un épanouissement. Que la vie préserve ta santé, comme tu préserveras celle de tes patients. C’est tout ce que je souhaite. Je t’embrasse et je t’aime.
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Chanson
Pour mon amie Marguerite. Je n’ose dire ma plus fidèle groupie.
[Nan, Marguerite, j’ai pas dit « Droopy » ! J’ai dit « groupie » !] 😀
Chère Marguerite,
Tu m’as demandé, par formulaire électronique interposé (en 3 exemplaires) :-), d’écrire quelques mots sur le verbe « Chanter ». Par le plus curieux des hasards (et non par esprit de contradiction), très peu de temps auparavant, j’avais prévu de consacrer une entrée de cet antidictionnaire au mot « Chanson » [Nan, Marguerite, j’ai pas dit « Chausson » ! J’ai dit « chanson » ! C’est pénible à la fin !] 😀
Mais ce que j’avais prévu, surtout, c’était de me taire (enfin !) 🙂 pour céder la parole à deux grands messieurs. Le premier a écrit l’un des plus beaux poèmes d’amour que je connaisse (bien entendu cet avis est totalement subjectif et masculin, ce que je revendique). Le second l’a mis en musique, avec le talent qu’on lui connaît. Et voilà ce que cela donne (je cite la 1ère strophe, puis insère la chanson dans son intégralité) :
« Je veux dédier ce poème
A toutes les femmes qu’on aime
Pendant quelques instants secrets
A celles qu’on connaît à peine
Qu’un destin différent entraîne
Et qu’on ne retrouve jamais. »
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Déception
Ne rien attendre. Voilà peut-être le meilleur moyen de ne pas être déçu.
Du moins c’est ce qu’on dit.
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Peur (3)
A QF, comme t’aurait baptisé Stanley Kubrick, dans « 2001, l’odyssée de l’espace ».
“La peur n’évite pas le danger, le courage non plus. Mais la peur rend faible, et le courage rend fort.”
Survivre avec les loups / Misha Defonseca.
Tu sembles l’ignorer, mon ami, malgré tout le respect que je te dois.
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Age (2)
Si :
- Un individu de plus de 45 ans s’adresse à vous en employant un « Monsieur » ou un « Madame » très prononcé.
- Votre fille ainée vous annonce au téléphone, dans la plus complète euphorie : « Papa, je vais bientôt être maman ! »
- Vous constatez avec un certain soulagement (ou pas) que vous n’êtes pas très loin de l’âge de la retraite.
- Les regards des personnes de l’autre sexe (ou pas) que vous croisez ne sont plus rieurs, tentateurs, séducteurs, aguicheurs ni souriants, mais froids, absents et indifférents.
Vous en déduirez probablement ceci : « Punaise ! Il me semble que je suis en train de prendre un coup de vieux, moi… » Surtout ne vous inquiétez pas, c’est tout à fait normal.
En effet, après une longue enquête, une étude sociologique assez poussée, et avoir résolu de nombreuses équations très compliquées, je suis arrivé à la conclusion suivante :
tous les 10 ans (environ) on devient le vieux de quelqu’un. Soit la moitié de la « durée de vie » d’une génération !
– Vous : « Nooon ?! »
– Moi : » Siii ! »
– Vous : « Pfff, arrête, tout ça c’est dans la tête ! »
C’est vrai.
Car : « quand on aime on a toujours 20 ans. »
Ce qui m’arrange. Vous n’imaginez pas à quel point !
😀
Quand on aime on a toujours vingt ans, Sing Sing / Jean-Pierre Ferland.
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Cafetière
Senseo : jus de chaussette.
Nespresso : boisson de vedette.
Autrement dit : la Senseo est la Nespresso du pauvre.
😀
Je tiens à préciser très clairement que je ne ne touche absolument aucune rémunération de la part de la Signora Nespresso. Par contre, je risque fort d’être attaqué en justice par le Signore Senseo.
J’ajoute enfin pour ma défense que je suis l’heureux possesseur d’une…
… Senseo. 😦
😀
Couleur café / Serge Gainsbourg.
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