Je suis un « dysgraphique du clavier ». Alors que je croyais jusqu’à ce soir être un authentique « dyslexique du clavier ». Quelle surprise !
Étant donné que ce mot est assez peu usité, je recopie la définition que donne le Petit Robert de « dysgraphie » :
Difficulté dans l’acquisition ou l’exécution de l’écriture, liée à des troubles fonctionnels (en l’absence de déficiences intellectuelles) ».
Je suis assez dépité d’apprendre que j’ai des « troubles fonctionnels » (?!). Mais heureux de savoir que je n’ai pas de « déficiences intellectuelles ». Ouf !
Tout ça pour dire qu’il faut que j’apprenne à taper un peu mieux, quoi ! Mais je m’y emploie. 😀
Comme ces deux termes semblent être très liés, voici également la définition que donne ce même Petit Robert de la dyslexie :
Trouble de la capacité de lire, ou difficulté à reconnaître et à reproduire le langage écrit.
Je pense donc que je suis quand même un tout petit peu dyslexique (du clavier) aussi. Soyons précis ! 😀
Enfin, il peut arriver que l’on soit dysorthographique.
Dysorthographique : Trouble dans l’acquisition et la maîtrise des règles de l’orthographe (en l’absence de déficiences intellectuelles).
Mais là, ce n’est absolument pas mon cas ! Et c’est une autre histoire…