Synonyme de bonheur.
Signe d’espoir et de renouveau.
Symbole de l’amour. Exceptions : chrysanthèmes, camélias et roses blanches.
Les Roses blanches / Berthe Sylva.
La Rose blanche / Mickey 3D.
[J’ADORE CETTE CHANSON !]
Pour info :
Hommage à Sophie Scholl « Sophie Scholl, née le 9 mai 1921 à Forchtenberg en Allemagne et exécutée le 22 février 1943 à Munich, est une résistante allemande de la Seconde Guerre mondiale et l’un des piliers, avec son frère Hans, du réseau La Rose blanche (Die Weiße Rose) ».
Née un 21, exécutée un 22, à 22 ans ! Mon dieu ! :’-(
Toujours pour info :
« Ce magnifique clip est en fait un montage d’images du « Ballon rouge » (1956) d’Albert Lamorisse, Palme d’or à Cannes du meilleur court métrage et Oscar du meilleur scénario cette année là… Un chef d’œuvre de poésie et un hymne à l’enfance avec en toile de fond les toits de Paris. »
1, 3, 7, 11, 13… Pourquoi les nombres les plus symboliques sont-ils des nombres premiers* impairs ? C’est un mystère…
Il est également facile de constater que ce sont les tout premiers nombres dans l’ordre de la numérotation, ce qui peut se comprendre.
Il existe au moins une exception à cette « règle » et pas des moindres : 666. C’est l’enfer !
* Pour celles et ceux qui auraient malencontreusement égaré leur manuel de mathématiques, un nombre premier est un nombre qui ne peut être divisible que par 1 ou par lui-même.
– « J’ai tout juste M’dame ? » – « Oui, mon petit. Mais je ne te mets que 18 parce que tu as fait une faute de français. »
– « Ah oui ? Où ça ? »
– « C’est Madame qu’il faut dire et pas M’dame. » – « Oh c’est pas une faute ça ! C’est pas juste ! Je vais le dire à mon prof de français… »
😀
Lors d’un court séjour, dans une petite ville située non loin de la mer, je m’étais offert une petite bague de peu de valeur, trouvée par hasard sur l’étal d’un marché de rue. Sur l’anneau de ce colifichet – tout à fait ordinaire et très peu onéreux – était fixé un « smiley » verni légèrement convexe, représentant en quelques traits noirs, un visage souriant sur un fond dont la couleur et le brillant rappelaient ceux de la nacre. C’est d’ailleurs cet aspect qui me poussa à franchir le pas. J’étais accompagné, lors de cet achat, d’une assez jolie jeune femme, qu’apparemment je ne laissais pas indifférente. La réciproque étant également vraie. Nous avions un point commun : le goût et l’envie de rire. Ce dont nous ne nous privions pas lorsque nous étions de sortie ensemble !
Quelque temps après – à force de se coincer dans la poche étroite de mon jean, lorsque j’y glissais la main – le « smiley », très mal soudé sur l’anneau de piètre qualité, est tombé. Je croyais l’avoir perdu et me sentais assez contrarié, car je ressentais une sorte d’affection pour ce tout petit objet. L’ayant vainement cherché, et le croyant définitivement perdu, je finis néanmoins par le retrouver par hasard. Je ne sais plus où ni comment.
Mais je compris par la suite que l’intérêt et que je portais à cet objet, ainsi que l’attraction qu’il suscitait en moi, ne venait pas du bijou en soi, mais plutôt de la personne qui m’accompagnait. Preuve en est que, n’ayant jamais pu recoller le « smiley », je gardais cependant l’anneau à mon doigt, qui (coïncidence troublante) se trouvait être mon annulaire. Devais-je voir dans tout cela un symbole favorable ou un funeste présage ? Un bijou brisé ou bien un lien sacré ? Cela, l’histoire ne le dit pas.