Travail ou activité « semi-profesionnelle » sans salaire, mais sans pression (pour « l’employé(e) ») et sans charges, car sans salaire (pour « l’employeur »). C’est du « gagnant-gagnant », comme on dit maintenant. 😀
Synonyme : volontariat.
Les guillemets, les parenthèses et les italiques sont offerts par la maison. Profitez-en tant qu’il en reste. 😀
Il nous est impossible d’avoir une quelconque action sur le passé (excepté par la pensée ***). Les choses changent. Tout comme notre vision des choses change. Ne reste plus qu’une douce nostalgie, qui n’est pas si désagréable que ça, au fond. Mais nous avons encore le temps et la possibilité de préparer nos lendemains. Ou, mieux encore : utiliser le temps qui nous reste pour apprendre à savourer et profiter de l’instant présent – ce qui nécessite un assez long apprentissage. -_-
Amen. 🙂 ***A moins bien sûr d’être en possession de « La machine à explorer le temps » d’H.G. Wells, ce qui me paraît peu probable. 😀
Des lendemains qui chantent / Françoise Hardy, Benjamin Biolay.
Surtout ne perdez pas cette qualité, Mesdames. Ne jouez pas à singer les hommes.
Et puisque nous sommes sur ce sujet, qui restera longtemps d’actualité, j’en profite pour vous dire qu’un féminisme digne de ce nom et bien pensé ne pourra s’épanouir et prospérer qu’AVEC les hommes et non SANS eux. Ces Messieurs doivent aussi s’impliquer dans cette nécessaire mutation.
C’est l’âge où le corps commence à montrer quelques signes d’usure ; précurseurs sans doute d’une vieillesse qui se rapproche, insidieusement. L’heure des bilans. Le moment où le soleil commence, tout doucement, et tranquillement, à vouloir rejoindre l’horizon – encore lointain, pourtant. Mais c’est aussi l’âge où le désir, de vivre et d’aimer, est à son apogée. Alors, profitons-en !
A cinquante ans, on se dit qu’il est grand temps de vivre, parce que l’on ne sait pas de quoi demain sera fait. C’est un âge où l’on commence à vouloir vraiment profiter de la vie et de ses bienfaits.