Lorsque cet air rêveur envahit ton visage, que ton regard tourne au vague, et tes yeux se perdent dans l’immensité de l’inconnu, à quoi, à qui penses-tu ? Mystère. Ce genre de mystère qui provoque une irrésistible attraction. Et vous charme en un instant.
Commentaire : si « les yeux sont le miroir de l’âme », alors je vois de bien belles âmes derrière tout ça. Cependant, afin de désamorcer toute éventuelle polémique (je suis bien conscient que le sujet est assez sensible), je précise que je ne fais absolument pas l’apologie du voile. A mes yeux (c’est le cas de le dire !), il n’est ici qu’un « accessoire. » Qui permet de focaliser l’attention sur de magnifiques et très esthétiques regards (images « photoshopées » donc « maquillées », le terme étant ici particulièrement approprié). Ce qui me fait également dire ceci : tout ce qui est masqué est en général très attirant ; tout ce que l’on dissimule attise curiosité et convoitise. Effet qui est totalement à l’opposé de l’objectif initial des plus rigoristes (pour ne pas dire extrémistes), qui consiste à cacher. Étonnant paradoxe. D’une certaine manière, je reste donc tout à fait en accord avec la thématique de mon article.
1, 3, 7, 11, 13… Pourquoi les nombres les plus symboliques sont-ils des nombres premiers* impairs ? C’est un mystère…
Il est également facile de constater que ce sont les tout premiers nombres dans l’ordre de la numérotation, ce qui peut se comprendre.
Il existe au moins une exception à cette « règle » et pas des moindres : 666. C’est l’enfer !
* Pour celles et ceux qui auraient malencontreusement égaré leur manuel de mathématiques, un nombre premier est un nombre qui ne peut être divisible que par 1 ou par lui-même.
– « J’ai tout juste M’dame ? » – « Oui, mon petit. Mais je ne te mets que 18 parce que tu as fait une faute de français. »
– « Ah oui ? Où ça ? »
– « C’est Madame qu’il faut dire et pas M’dame. » – « Oh c’est pas une faute ça ! C’est pas juste ! Je vais le dire à mon prof de français… »
😀
Je dois reconnaître, cruelle déception, que j’ai souvent du mal à bien comprendre leur psychologie ; à cerner leur personnalité. Peut-être serait-ce parce que celles que je rencontre ne me conviennent pas ? Ou, au contraire, serait-ce moi qui ne leur convient pas ? Ou bien encore, ne serais-je pas assez fin psychologue ? M’y prendrais-je mal avec elles ? Mon charme n’opérerait-il pas assez longtemps ? Les aimer ne leur suffirait-il pas ? Ne leur donnerais-je pas ce qu’elles attendent d’un homme ou d’un compagnon ? Ou bien, pour mettre fin à cette trop longue liste, serait-ce elles qui, étant en pleine mutation, ne tourneraient pas rond ? J’avoue, avec une certaine honte, que je l’ignore.
Je propose donc de conclure ces interrogations de toute première importance (en particulier pour moi) par une courte formule finale : les femmes sont et restent pour moi un véritable mystère. Il faut parfois savoir faire amende honorable. A l’inverse, surtout ne leur dites jamais quelque chose qui pourrait leur déplaire : elles vous le pardonneraient difficilement. (J’écris bien sûr ces lignes « à la suite d’une douloureuse déception sentimentale ». Comme je le ferais d’une pénible désillusion amicale).