« La contrainte stimule l’imagination. »
Merci à l’OuLiPo (en particulier : Raymond Queneau, Georges Perec et Italo Calvino), aux poètes, aux mathématiciens, et à… Françoise Coutant (qui a cité cette phrase il y a deux jours).
« La contrainte stimule l’imagination. »
Merci à l’OuLiPo (en particulier : Raymond Queneau, Georges Perec et Italo Calvino), aux poètes, aux mathématiciens, et à… Françoise Coutant (qui a cité cette phrase il y a deux jours).
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Il y a des « images publiques » que l’on ne peut oublier et qui resteront à jamais gravées dans nos esprits.
Certaines, tragiques et dramatiques, génératrices de peur, d’angoisse ou de souffrance, comme celles de :
Celles-là sont des images de mort et de violence.
D’autres, heureusement, sont plus réconfortantes ou porteuses d’espoir. Il en va ainsi de celles :
Celles-ci sont des images de vie et de paix.
Mais il y a aussi ces « images privées », heureuses ou malheureuses, tout aussi présentes dans notre mémoire, tant elles nous ont également marqué(e)s ou frappé(e)s. Bien entendu, par pudeur ou par discrétion, je vous en ferai grâce, ou plutôt n’en citerai qu’une, si commune : celle de la naissance de mes enfants.
Comme aphorisme, on peut faire mieux ! 😀
1989 : un tank chinois sur la place Tiannanmen.
Le Cinquième élément / Luc Besson.
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Quand une femme vous annonce « Il me faut du temps » ou bien « Je ne suis pas prête », comprenez « Je ne veux pas de toi ». Quand on une femme, allongée à vos côtés par une belle nuit d’été, vous dit « Non », il faut comprendre « Mais si, imbécile, tu n’a rien compris, ça voulait dire oui ! » C’est du moins ce qu’elle vous annonce froidement le lendemain. Je ne suis nullement misogyne (ce serait même plutôt le contraire). Ce que je viens de vous raconter là, c’est du « vécu », de « l’authentique » ! Si, si, Messieurs-Dames, je vous l’assure ! Et vous pouvez me croire sur parole.
Un jour, il y très longtemps – j’étais encore adolescent – on m’a dit que j’avais une « libido féminine » (comprenne qui pourra). Ça, c’est une (jeune) femme qui me l’a dit. Une autre fois (beaucoup plus récemment) on m’a dit : « tu as un cerveau aussi compliqué que celui d’une femme ». Ça, c’est un homme qui me l’a dit. Est-il misogyne, lui ? Je ne le crois pas. Il aime les femmes tout autant que moi. Je conclus de tout cela qu’il y a en moi une part féminine. Et je l’assume.
Je devrais par conséquent être assez bien placé pour comprendre les femmes. Hé bien non, justement ! Je n’y comprends toujours rien, je dois l’avouer. Et je crois que je ne saurai jamais vraiment comment elles « fonctionnent ». Ou plutôt certaines d’entre elles. Il ne faut pas généraliser ! (J’ai en effet connu quelques expériences ou relations beaucoup plus simples que celles que je viens de citer).
Il est est possible, alors, que je sois parfois (souvent ?) tombé sur des « tordues ». Ou bien, qu’effectivement, je sois un authentique imbécile !
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