On peut jouer avec les mots comme on joue aux Legos.
Les assembler de différentes manières et s’amuser à construire, inventer ou créer du jamais vu, du jamais lu. Nul besoin de mode d’emploi. Les combinaisons possibles sont infinies…
L’un des avantages (sans doute le seul d’ailleurs) qu’il y aurait à perdre la mémoire serait peut-être de nous permettre, faute de choix, de vivre uniquement et pleinement dans le présent (quitte à l’oublier immédiatement, mais là n’est pas la question).
C’est ce que peut enseigner, aux pauvres occidentaux que nous sommes, la philosophie bouddhiste.
[Il est donc inutile de préciser que je ne suis pas en train de faire l’apologie de la maladie d’Alzheimer. Mais au cas où, sachez que j’ai un très bon avocat, je vous préviens !]. 😀 😀 😀
La plupart d’entre nous ressentent le besoin de « prouver quelque chose ». Mais que voulons nous prouver ? Et à qui ?
Une fois trouvée la réponse à ces deux questions, on a fait un petit pas de plus vers la délivrance ou la liberté.