« L’optimisme est une bonne chose, mais s’il est poussé à l’excès, il devient sottise. Nous pensons que les ressources de notre pays sont inépuisables ; ce n’est pas le cas. Nos richesses minières, le charbon, le fer, le pétrole, le gaz et les autres matières premières ne sont pas renouvelables. Il est donc certain qu’elles seront à terme épuisées. Et vu la manière dont nous les gaspillons aujourd’hui, nos descendants connaîtront leur épuisement une génération ou deux plus tôt que prévu. »
Theodore Roosevelt, président des États-Unis, Conférence sur la conservation des ressources naturelles, message annuel au Congrès, 3 décembre 1907.
1907. Que devrait-on dire aujourd’hui ! Et que pourrons-nous dire demain ?
qu’il avait raison?
à demain je réfléchis encore…
J’aimeAimé par 1 personne
L’être humain a toujours su s’adapter jusque là. Mais ça va devenir difficile. Quelqu’un m’a dit très récemment : « la planète survivra, c’est l’homme qui disparaîtra ». Je vais méditer ça.
J’aimeAimé par 1 personne
Ok. Ce serait sympa de me faire part de vos conclusion;
J’aimeAimé par 1 personne
Mes conclusions, Mari ? Je pense VRAIMENT, sans vouloir être alarmiste, qu’il serait grand temps de faire de l’écologie une priorité (plutôt que de vouloir faire toujours plus d’argent facile, en ayant une courte vue).
A quoi sert un monde et tout ce qu’il produit s’il n’est plus possible d’y vivre ? Comme tout un chacun, je ne sais pas de quoi demain sera fait. Même en faisant de la prospective, on n’est sûr de rien. Je ne veux pas non plus tomber dans un sombre pessimisme (inutile, infructueux et « anti-productif »). Je suis tout simplement inquiet, même si des efforts (symboliques ?) sont faits. Tous les partis politiques ont repris à leur compte la dimension écologique. Pour se donner bonne conscience ? Pour se doter d’un nouvel « argument de vente » ?
On connaît bien ce scénario de science-fiction (genre littéraire plutôt masculin, je le reconnais) dans lequel est décrit un exode massif (ou élitiste) de la population terrestre vers de nouvelles planètes. Ce scénario pourrait, éventuellement, devenir réalité. N’a-t-on pas découvert récemment une planète habitable par l’homme (si je suis bien informé) ? Il ne manquerait plus que les moyens de transport.
Mais tout cela n’est que conjectures. Ce qui ne l’est pas, en revanche, ce sont tous les petits gestes quotidiens qui, une fois cumulés, permettent de diminuer légèrement notre empreinte sur l’environnement (comme on dit).
J’évoquais la formidable faculté d’adaptation de l’espèce humaine. Je crois tout autant en son imagination et son inventivité. C’est peut-être (surtout ?) par là que passera notre salut.
Amen. 🙂
Désolé d’avoir été si long. D’autant plus que je me demande si j’ai bien répondu à votre question. Si donc vous êtes parvenue jusqu’ici, c’est que vous êtes très courageuse. 🙂
J’aimeJ’aime