Mon fantasme le plus prégnant, ce cher rêve récurrent :
On sonne chez moi. Je me dirige vers la porte d’entrée. J’ouvre. Là, juste en face de moi, aussi gracieuse et ravissante qu’elle l’était lorsque je l’ai rencontrée, se tient mon « amoureuse » – virtuelle et platonique – ma plus belle expérience dans le cyberespace. Elle est mon élue. Mais vit loin de moi. Elle est pourtant venue. Elle est là. Juste devant moi. Tendre et souriante, elle s’avance. Et je ne peux m’empêcher – suprême désir, plaisir souverain – de la prendre et la serrer dans mes bras.
Il n’y pas de suite… Ce seul éternel instant suffit à me combler.
Ou presque…
Comment se contenter d’une abstraction, alors qu’on donnerait tout pour la voir devenir réalité ? Au rêve succède la frustration.
Knocking on Heavens’s Door / Bob Dylan.
Walking On Sunshine / Katrina & The Waves.
[I just can’t wait till the day when you knock on my door
I just can’t wait till you write me you’re comin around]
Merci FGM. 😉
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le mieux serait de la rencontrer en chair et en os 😉 et d’écouter Bob Dylan …
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Surtout en chair ! Car la « chair est faible ». 🙂 On laisse donc tomber les os : tout le monde n’est pas Kate Moss. 🙂 Tout ce qui est écrit là n’est qu’une simple fiction ou projection. Certes « inspirée de faits réels ». Tout comme l’est le film « Pat Garrett and Billy the Kid », qui inspira à Bob Dylan cette chanson. 😉
http://fr.wikipedia.org/wiki/Knockin%27_on_Heaven%27s_Door
PS : je ne suis pas un « no life » et sais encore distinguer le virtuel de la réalité. Mais pour combien de temps encore ?… 😀 😀 😀
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Comment se contenter d’une abstraction, alors qu’on donnerait tout pour la voir devenir réalité ? Au rêve succède la frustration.. dixit!
.comme c’est vrai! et la réalité se dévoile amère.
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