Mon panthéon personnel : Baudelaire, Verlaine, et Rimbaud bien sûr !
Surtout quand je (re)lis ceci :
Le dormeur du val
C’est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D’argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons.Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
L'Anti-dictionnaire : des mots, encore des mots, toujours des mots, et... quelques vidéos 
Encore un coup de Walter White !
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Choix classique
….mais sublime
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Il n’y a que l’embarras du choix avec ces 3 messieurs.
Je me suis tapé le « Bateau ivre » au bac (un classique aussi, mais qui ne le sera jamais vraiment, tellement il échappe aux conventions). C’était un vrai défi et plutôt casse-gueule. Tout le monde angoissait (moi aussi !), le redoutait (moi aussi !), ou se rétamait. Sur ce coup, je m’en suis plutôt bien tiré. Mon Dieu, par tous les Saints, Jésus Marie, merci ! 🙂 [C’est un beau prénom que le tien (on a déjà dû te le dire). Tu as de la chance, je déteste le mien ! Peut-être parce que je ne m’aime pas assez.] 😀
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effectivement qui ‘a pas les poèmes de ces messieurs? qui? qui? pas moi…merci de le mettre chez toi:)
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