Il est tel l’instinct vital, inextinguible. Difficile de le réduire au silence, même lorsqu’il n’a plus lieu d’être. Dans ce cas, il est éminemment douloureux.
J’espère / Marc Lavoine & Quynh Anh.
High Hopes / David Gilmour (in Royal Albert Hall).
Chögyam Trungpa parle beaucoup de ça : si on tourne un peu son esprit différemment et qu’on abandonne réellement l’espoir, il se produit un grand soulagement et une grande liberté. Il appelle cela l’inespoir, et non le désespoir, car cela recèle une grand joie profonde quand on y touche réellement. La méditation est l’exercice qui consiste à poser tous ces fardeaux (envies, rejets…), apprendre à être juste là, dans le silence. L’instinct vital est distinct des objets précis sur lesquels nous faisons de fixettes.
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Alors je crois que je devrais essayer la méditation… 😉
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